Vous souhaitez changer la couleur de vos cheveux ? Attention aux colorations capillaires ! Et si une simple teinture pouvait mettre en péril votre vie ? Une jeune étudiante de 19 ans en a été une victime.

Donc pourquoi faut-il bannir les colorations conventionnelles ?

Suite à sa malheureuse expérience, Estelle, une jeune étudiante âgée de 19 ans, a mis en garde les consommateurs sur le danger des teintures conventionnelles.
Suite à son utilisation d’une coloration pour cheveux qu’elle a payée d’un supermarché, cette jeune femme a été atteinte d’une allergie à la PPD (paraphénylènediamine).
Une mésaventure qu’elle ne souhaite plus revivre.

Ma tête s’est défigurée !

Allergique à l’une des substances du produit qu’elle a utilisé pour colorier ses cheveux, la jeune étudiante qui habite à Vitry-sur-Seine a été sur le point de mettre un terme à sa vie.

Après l’écoulement de quelques heures de l’usage du contenu dudit produit, Estelle a senti une irritation gênante de son cuir chevelu et en plus son visage et sa langue se sont enflées.

En dépit d’une cure à base d’antihistaminique, la forme de son front s’est doublée.

Elle a déclaré à nos confrères du Parisien qu’elle avait une tête d’ampoule. Le gonflement de sa langue a failli précipiter sa disparation.

Face à cette situation critique, Estelle a décidé de se rendre en urgence à l’hôpital.
Après avoir diagnostiqué son cas, les médecins ont réalisé qu’elle a été atteinte d’une allergie à la paraphénylènediamine.
Alitée dans une nuit à l’hôpital, la jeune femme s’est rendue compte au lendemain que les douleurs ne se sont pas apaisées.
Le plus étonnant dans cette affaire est que son tour de tête s’est agrandi de 56 à 63 centimètres.

Les images de sa transformation terrifiante se sont répandues sur la toile comme une traînée de poudre.

À travers son exposition, Estelle veut alerter les consommateurs face aux risques liés à l’utilisation des teintures qui contiennent la PPD, une matière entièrement dangereuse qui se trouve dans presque 90 % des colorations foncées exposées en vente en supermarchés.

“ J’ai commis une erreur et je voulais dire aux autres, ne répétez pas ce que j’ai fait ! “ déplore-t-elle.

” Il va falloir également que les alertes soient plus substantielles et préoccupantes”, s’indigne la mère de la jeune étudiante.
Elle ajoute : “Il est difficile de lire l’écriture trop petite de la notice du produit. La conséquence peut être tragique.”

Une matière contestée se trouve dans 9 colorations conventionnelles sur 10.

Sauvée de cette épreuve, Estelle a pris une position ferme contre l’usage des colorations. ” J’ai été sur le point de mourir, je n’aime pas que les autres vivent ce cauchemar terrifiant. “, confie-t-elle.

Une aspiration ambitieuse vu que la PPD se trouve dans presque neuf teintures sur dix.

En plus, cette sensibilité touche 2 à 3 % de gens selon les affirmations des dermatologues.

La PPD a été qualifiée en 2012 par le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (CSSC) comme “allergène de contact important et fréquent chez les consommateurs” chose qui a dégénérer en “des réactions allergiques, potentiellement graves”.

En dépit de l’interdiction de l’usage de cette substance allergène dans les produits cosmétiques entre autres, maquillage, poudres, crèmes, cet élément se trouve dans la plupart des produits colorants.

Les teintures des cheveux étaient déjà dans le collimateur de l’UFC-Que Choisir.

Un panel d’experts ont confirmé après avoir testé une kyrielle de produits “qu’il existe plusieurs matières controversées dans les teintures chimiques et peu ou pas dans les teintures d’origine végétales “, selon Gaëlle Landry, co-auteure de ce test.

Ne paniquez plus, si vous entendez colorier vos cheveux blancs, car il existe d’autres choix naturels plus anodins et sains notamment le rhapontic, la camomille ou le henné.